Les rendus sonores 360° sont-ils limités aux genres « horreur », « science-fiction » et « action » ?
À mon sens oui, la VR convient mieux à ces genres dans lesquels on retrouve plus souvent la manière de filmer en caméra suggestive bluesoleil 10. Un drame ou une comédie mixés en 360°, ça n’a pas beaucoup de sens. D’ailleurs, en psycho-acoustique, le bruit hors écran est considéré comme un élément de tension, ce qui réduit déjà fortement le scope Download the smartphone virus.

Lorsque vous évoquez des captations en direct 360°, vous pensez pourtant à l’univers de la télévision, non?
Pas forcément Download microsoft outlook 2010. Les concerts pourraient être un marché prometteur… Mais c’est aux créatifs de tenter d’apprivoiser ces nouvelles techniques dans d’autres genres audiovisuels dbdesigner 다운로드. Mon métier est de servir le contenu.

Vous qui connaissez bien la VR, un petit tuyau quand même : quels sont les créneaux porteurs 프레디의 피자가게 5?
Mon intuition personnelle, en tant qu’utilisateur, c’est que l’immersion totale n’est pas toujours agréable… Les producteurs de VR doivent dès lors se concentrer sur des expériences courtes. La technique progresse mais notre physiologie restera un frein.

Trop d’immersion tue l’immersion ?
Je dirais plutôt qu’il faut un ancrage. Je crois beaucoup au développement de la réalité augmentée. C’est sans doute l’étape suivante parce que je ne suis pas certain que la VR percera pour la consommation médiatique de masse. Le vrai potentiel, ce sont les technologies qui permettent d’ajouter un calque audiovisuel sur la réalité, l’utilisateur est alors « stabilisé » dans son expérience, avec comme résultat qu’il évite les nausées… L’objectif est de développer des expériences virtuelles plus longues et surtout… à plusieurs !

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