Existe-t-il des nuances entre produire pour YouTube et pour Facebook ?

Pas vraiment. De plus, les modèles des deux géants vont encore se rapprocher 윈도우 라이브 메일. C’est en tout cas ma lecture des dernières ambitions de Facebook par rapport aux écrans de salon : une offensive frontale. Et l’affrontement se fera notamment sur le contenu 프로세스 익스플로러. On vit une époque pleine d’opportunités…

Produire pour Snapchat est sans doute plus particulier…

Evidemment apache tomcat 6.0. La consommation mobile personnelle impose le format vertical. Fini le 16/9 ! Encore une grosse révolution pour le métier… Au niveau de la narration, on passe du court à l’extra court avec des contenus qui doivent tenir en 2 minutes maximum… Et puis, la caractéristique principale de Snapchat, c’est que tous les contenus disparaissent au bout de 24 heures, le producteur doit donc intégrer une temporalité plus contraignante 꼬마잠수함 올리 다운로드. Pour toutes ces raisons, Snapchat est un véritable laboratoire audiovisuel.

Prenons un cas pratique. Comment adapteriez-vous le pitch d’une série culte comme « Les Sopranos » sur Facebook, YouTube et Snapchat  Download the June mock review?

Soyons clairs : « Les Sopranos » doit rester en 52 minutes sur grand écran ! Beaucoup de séries continueront d’ailleurs à exploiter ce format avec succès. Mais imaginons : sur YouTube et Facebook, on aurait une version plus ramassée de l’intrigue, moins de narrations parallèles, moins de sous-entendus, moins de place pour l’interprétation… La trame serait décomposée en dix fois plus d’épisodes, plus courts, on éviterait aussi de trop « trimballer » l’audience en tablant au maximum sur le credo « un temps, un lieu ». Bref, on serait dans une narration plus « cut », plus soutenue, plus directe…

 

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