Entretiens

Chloé Horghes, Robin&Co

logo_robin&coLa directrice des ventes internationales détaille l’évolution du concept de format qui s’applique désormais de plus en plus aux fictions, notamment les séries télévisuelles TexBook 2.2.

chloe.horgues@robinco.fr

 

 

Le concept de formats – avant cantonné au flux – est de plus en plus présent dans l’univers sériel 별 의 커비 wii 다운로드. Pourquoi  en est-on arrivé à formater des séries TV ?

Que ce soit pour les formats de flux ou de fiction, les diffuseurs sont de plus en plus frileux à développer des originaux 토탈워 워해머. Les chaines préfèrent nettement adapter des formats étrangers s’ils savent qu’ils ont déjà eu de beaux succès d’audience sur d’autres territoires 20th Century Boys. La norme de référence qui découle des formats les rassure. C’est aussi un gain de temps et donc d’argent. Un producteur qui achète les droits d’adaptation d’un format va faire de grosses économies au niveau de l’écriture du script 원더걸스 텔미 mp3.

Aujourd’hui faire rimer fiction avec exportation, c’est une nécessité économique ?

Il n’y a même pas dix ans d’ici, quand on voulait lancer une série, on avait besoin de rien d’autre que l’investissement d’un diffuseur et du CNC (Centre national du cinéma). Tout ce qui était ventes internationales, c’était du bonus pour le producteur.  Aujourd’hui, pour financer une série, il est absolument indispensable d’avoir des préventes internationales ou des minimums garantis de distributeurs dans le plan de financement.