Directeur adjoint de l’IAD, Michel Wouters jette un regard académique sur les enjeux du développement de la production télé en Belgique francophone Download the famous trailer.
Un master centré sur les métiers propres à la télévision, c’est unique en Belgique francophone 아이폰 벨소리?
En effet, suite à la réforme de l’enseignement supérieur début des années 2000 (processus de Bologne), l’IAD a mis en place deux années de master spécifiques à la télévision 코렐드로우. Nous proposons également un master en écriture audiovisuelle qui touche de près à la narration TV. Ces deux spécialisations sont uniques en FWB.
Le tronc commun du cursus est moins orienté télévision 도시정벌 9부?
Disons qu’il est plus généraliste puisqu’il touche également au documentaire et à la fiction. En matière de télévision, les trois années de BAC abordent la mise en place de programmes « standards » tels que des JT, des magazines de société ou de divertissement PDF 파일 다운로드. Par la suite, à partir du master, la formation s’axe concrètement sur les concepts d’émissions avec la nécessité de développer des idées originales. C’est une filière très ambitieuse et exigeante en matière de créativité.
Le développement de formats est donc central dans l’apprentissage ?
Oui, c’est un objectif important. Les étudiants développent des idées tout au long du cursus avant de choisir celle(s) qu’ils concrétiseront en pilote dans le cadre de leur travail de fin d’étude. Il faut donc pitcher régulièrement, écrire et enrichir sa bible de production, remettre l’ouvrage sur le métier, réfléchir en termes de public cible et de budget.
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