Devant porte close, FRAPA a dès lors recentré ses activités?

Nous sommes restés un lobby qui défend aujourd’hui une industrie à l’échelle mondiale, avec plus de poids, plus de moyens Eugene Mark Millennium. Concrètement, on sert d’entremetteur dans la conclusion de contrats entre les producteurs et les chaînes : nous leur proposons des contrats types qui offrent un maximum de garanties aux deux parties 고쳐주세요 mp3 다운로드. Nous intervenons aussi comme chambre de médiation et de réflexion dans certains litiges de manière à éviter le recours systématique aux tribunaux Free download of Skycastle. Notre principe : mieux vaut prévenir que guérir. Notre but est d’instaurer une confiance commerciale dans l’industrie des formats. Cela démarre d’une fixation la plus objective possible des coûts d’acquisition d’un format Download Park Ki-young.

Comment calculez-vous la valeur d’un format ?

C’est très complexe… Schématiquement, il faut retenir que la règle d’or est que la part dévolue au créateur se situe entre 5 et 10 % du budget de production Download sencha touch. Elle est donc variable d’un marché à l’autre. Nos estimations proviennent d’une base de données riche de centaines de contrats conclus. En fait, chaque fois qu’un de nos membres conclut un contrat, il nous en fournit les détails : chaînes, marché, créneau de diffusion… Sur cette base, nous pouvons voir dans quel sens le vent tourne et proposer des repères aux créateurs qui entrent en négociation.

Vous conseillez également vos membres quant à la rédaction de leurs bibles de production ?

En effet, il est très vite apparu que la « bible de production » porte bien son nom : elle est le document-phare de toute l’industrie, celui qui donne une assise au combat pour le copyright. En fait, il faut la percevoir comme un livre de recettes : si vous ne savez pas cuisiner, mais que vous suivez scrupuleusement toutes les étapes, vous vous régalerez. Plus la recette sera précise, c’est-à-dire moins il y aura de place pour l’interprétation, plus vous serez assuré la réussir.

L’analogie est quasi parfaite : les ingrédients de la bible sont la personnalité de l’animateur, la règles de casting, les décors, la réalisation, les lumières, les modalités d’interactivité, la place du sponsoring… Le copyright des formats ne portera pas sur l’ensemble de la bible, mais sur certains éléments originaux qu’elle contient. Dès le début du travail d’écriture, il est donc essentiel de créer ces éléments originaux protégeables.

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