Il y a-t-il un business model prédéfini pour la websérie ?
Non, notre business model se construit en parallèle des expériences cmd http file. Nous essayons de nous fixer des objectifs dès le départ, de voir si ça colle et puis de les refixer en fonction du résultat.
Nous tentons de réfléchir aux usages de ce nouveau public et de le fidéliser, d’engager des communautés en Belgique francophone, ce qui est un enjeu énorme 메소드 던전 툴 다운로드. La pression des audiences arrivera certainement à un moment, si l’écosystème de la Webcréation parvient à se développer aussi auprès d’un public de masse, mais pour l’instant, nous avons la possibilité et la chance de tester sans trop la subir Hellmoney. Evidemment il faut essayer d’avoir des contenus à succès et d’être visible, ce qui est aussi la raison pour laquelle nous investissons dans différentes plateformes web colony survival 다운로드. Nous donnons priorité à l’univers RTBF mais, en fonction du public cible, prenons les 18-24, nous allons tester une diffusion aussi sur YouTube par exemple, et investir dans des campagnes marketing afin d’aller chercher de nouvelles audiences qui ne sont pas d’emblée sur la RTBF wit.
Quelle est la place laissée aux nouveaux médias, tels que Périscope, Snapchat ?
La RTBF laisse une énorme place aux réseaux sociaux en général, que l’on considère comme le 4ème média, avec la radio, la télévision et le web. Dans le cadre des webséries, et pour toutes nos créations, les réseaux sociaux font partie de la stratégie de diffusion : nous créons des pages Facebook et des comptes twitter, nous serons aussi présents sur Instagram. Nous avons créé un univers enrichi et une narration parallèle aux épisodes de base de nos webséries sur les réseaux sociaux, pour continuer à dialoguer en permanence avec le public.
La RTBF a déjà testé Périscope sur certaines émissions ou pour des conférences de presse, par exemple. Snapchat fonctionne très bien sur « The Voice », mais n’est pas encore utilisé de manière régulière par la cellule Webcréation. Nous n’avons pas encore le recul nécessaire sur son utilisation. En ce moment, le département RTBF Interactive réfléchit à la manière dont nous devons nous positionner sur ce réseau, dans la volonté d’évoluer avec les modes de consommation. Etant donné qu’on l’on touche moins le public des ados et des 15-25 ans, cette réflexion est essentielle à l’heure actuelle.
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